Les lectures de Proust m’ont influencée dans la rédaction de ce titre sur la mauvaise santé des personnes malades chroniques dont je fais partie
A la recherche de la bonne santé perdue
Et oui, je vous propose ici une lecture assez complète d’une probable cause de nos symptômes . LES DENTS.
Et dire que nous avons depuis notre enfance , de gré ou de force ,été chez le dentiste pour « plomber « telle ou telle carie dentaire,A force de nous « plomber » nous avons été contaminés car en effet ces « plombages » ou amalgames dentaires sont toxiques, et on le sait depuis très très longtemps. mais comme il n’y a rien d’autre assez économique on continue à nous » plomber » intoxiquer ..
lisez plutôt.
Les amalgames dentaires
Les amalgames utilisés en bouche depuis plus de 150 ans sont constitués de Mercure, d’Argent (Ag), de Cuivre (Cu), de Zinc (Zn) et d’Etain (Sn).Ils ne contiennent pas de Plomb bien qu’ils soient appelés communément plombage, de l’action mécanique de »plomber » qui signifie mettre dans un cavité en lissant les bords. Ce sont tous des métaux lourds. De part leur présence en bouche, du fait qu’ils soient « immergés » dans la salive, ils se comportent comme des électrodes dans une batterie et développent une tension et un courant électrique que l’on peut tout à fait mesurer. La conséquence principale est que cet alliage se corrode et met en solution dans la salive des particules des différents métaux qui le constituent sous forme ionique essentiellement. Comme en moyenne un patient avale 1,5 litre de salive par jour, il avale en même temps une quantité conséquente de métaux (sous forme ionique) qui vont se recombiner dans l’organisme avec des molécules organiques et vont ainsi se fixer de manière plus ou moins durable dans les tissus.
Sachez simplement que la mastication lors des repas ou l’utilisation de chewing-gum augmente la présence de métaux sous forme métallique essentiellement inhalé et ingéré; de même, la présence d’or conjointement à l’amalgame produit du bimétallisme et augmente les courants électriques sur les obturations métalliques. Donc une personne peut être sensible soit au phénomène électromagnétique du aux piles en présence dans sa bouche, soit aux conséquences électrolytiques de l’ingestion et l’inhalation de particules métalliques.
Problèmes liés au Mercure
C’est évidemment le Mercure que l’on connaît le mieux et qui a été le mieux étudié bien qu’on ait répertorié une trentaine de métaux liés aux matériaux utilisés en bouche.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) considère que la plus grande source de mercure pour la population générale non-exposée de façon industrielle provient des amalgames dentaires. Une obturation dentaire moyenne en amalgame contient suffisamment de mercure pour excéder la limite recommandée par l’Agence de la protection de l’environnement américaine (EPA) pour un adulte pendant 100 ans !
Précisons qu’il faut 7 ans pour qu’un amalgame perde la moitié du mercure qu’il contient… 7 ans durant lesquels celui-ci s’accumule dans l’organisme.
Des experts en toxicologie du mercure ont énoncé que la plus petite quantité de mercure qui ne cause pas de dommage est encore inconnue. Les déchets d’amalgames sont maintenant classés comme « déchets à risque » pour l’environnement.
Lorsqu’un dentiste enlève un morceau d’amalgame de votre bouche et le place sur une tablette, il redevient un « déchet à risque » » et doit être manipulé avec précaution. Si ce morceau est retrouvé dans l’environnement, le dentiste peut devoir payer une amende. Tous les cabinets dentaires français sont équipés de récupérateur de métaux lourds afin que ceux-ci ne soient pas évacués par le tout à l’égout, et sont retraités par des sociétés spécialisées aux frais et sous la responsabilité des chirurgiens dentistes.
La Suède et l’Allemagne ont déjà amorcé le retrait de l’amalgame. Seulement 12 parties par mille milliards de mercure dans l’eau constituent un danger pour la vie aquatique.
En Suède, le gouvernement s’est engagé à rembourser les déposes d’amalgames. Depuis le 18 février 1994, l’amalgame a été interdit pour les enfants et les adolescents.
En Norvège, les dentistes ont été priés par leurs autorités sanitaires (mai 2002) de ne plus recommander les amalgames à leurs patients. Les militants parlent de percée (breakthrough) décisive dans la «guerre de l’amalgame» (amalgam war).
En Californie, une interdiction totale de ce matériau au 1er janvier 2007, selon l’amendement présenté en 2002 dans cet état par la Commission de Santé de l’Assemblée.
En France aujourd’hui la profession dentaire implante toujours des amalgames qui contiennent 50 % de mercure dans la tête des êtres humains, avoue que le mercure s’en échappe et soutient qu’il n’y a aucun danger ! Avec une réponse de notre ministre de la santé madame BACHELOT au conseil de l’ordre des dentistes, qui avalise celle ci.
Les principales voies de pénétration du mercure dans le corps humain sont la consommation d’aliments, en particulier du poisson, et l’application d’amalgames dentaires lors d’activités de médecine dentaire restauratrice.
C’est la forme chimique (ionique ou métallique) sous laquelle le mercure est inhalé (poumon) ou ingéré (tube digestif) qui va déterminer les conséquences toxicologiques:
soit il provient d’une source chimique due à la corrosion dépendante des courants électriques (forme ionique: Hg2+ ou 2Hg+) et c’est une intoxication progressive des tissus par le tube digestif de molécules organiques de méthyl Mercure ou éthyl mercure pour les poisons les plus célèbres. On estime qu’environ 80% du Mercure avalé est ainsi « récupéré » et peut donc se fixer dans les tissus.
soit il provient d’une source physique telle la mastication ou le bruxisme (grincement des dents) qui procure du Mercure métallique (Hg0) qui va être très rapidement inhalé dans les poumons puis passera dans la circulation sanguine. Il traversera les barrières méningées et atteindra ainsi le cerveau. Il se transformera petit à petit en forme ionique (Hg2+ ou 2Hg+) et se fixera alors dans les tissus nerveux pour de très longues années. La forme métallique n’est pas considérée comme toxicologiquement grave lorsqu’elle est avalée car plus de 80% du Mercure métallique ingéré est éliminée par les voies naturelles.
Les symptômes généraux qui ont très souvent un caractère inexpliqué, tels que :
- SFC Syndrome de Fatigue Chronique, maux de tête, migraines
- Troubles psychiques: modification de l’humeur, irritabilité, indécision, anxiété, intolérance au stress, baisse de concentration, perte de mémoire à court terme,déclin intellectuel, dépression (avec ou sans tendances suicidaires)
- Troubles neurologiques: Alzheimer, sclérose en plaque, sclérose latérale amyotrophique, Parkinson
- Troubles immunologiques: infections diverses et répétées, fièvres rhumatismales, polyarthrite rhumatoïde, zona, nodules lymphatiques, leucémie • Allergies: sinusites et rhinites chroniques, rhume des foins, urticaire, eczéma, dermatoses, psoriasis
- Tremor: tics du visage (paupières) et autres muscles • Troubles musculaires: fibromyalgies (nuque, bras), douleurs articulaires
- Troubles audio-visuels: champ visuel rétréci, assombri, glaucome, acouphènes (sifflement des oreilles), hypersensibilité à la lumière et aux bruits, vertiges. • Troubles cardio-vasculaires et circulatoires: tachycardie, troubles du rythme, électrocardiogramme anormal, hypertension, hypotension, évanouissements, épistaxis (saignements spontanés du nez)
- Troubles hormonaux: thyroïde, thymus, surrénales, pancréas (hyper- et hypoglycémie, diabète)
- Troubles gastro-intestinaux: diarrhées ou constipation, météorisme, prise de poids, perte d’appétit, diverticulite, maladie de Crohn • Troubles du sommeil: insomnie, hypersomnie
- Troubles rénaux: cystite, pollakiurie nocturne
- Troubles respiratoires: asthme bronchique
- Troubles de la sensibilité: froid aux pieds et mains, perte de sensibilité aux extrémités, fourmillements, gonflement
- Chez les enfants: hyperactivité, retards neuropsychiques, autisme
- Une exposition du fœtus, même si ce dernier est dans l’utérus, au mercure peut entraîner des troubles neurologiques du développement de l’enfant.
Une exposition à long terme peut progressivement conduire à une aggravation des symptômes et au bout du compte, à des troubles de la personnalité, à la stupeur, et dans des cas extrêmes, au coma et à la mort. Des découvertes récentes décrivent les effets indésirables sur le système immunitaire et cardiovasculaire pour de très faibles concentrations de mercure.
En parcourant cette liste, on pourrait penser que toutes ces pathologies ont le mercure pour origine. Ce n’est heureusement pas le cas pour la majorité d’entre nous. Disons plutôt que si l’origine de l’un ou l’autre de ces divers symptômes ne peut pas être déterminée, alors oui, il peut s’agir d’une intoxication au mercure.
Dans la réalité, on estime que seuls 15 à 20% des gens ont des problèmes plus ou moins sérieux. 80% d’entre nous, bien qu’intoxiqués aussi, ne réagissent que peu ou pas du tout à cette agression. Ces phénomènes ont cependant tendance à s’affirmer avec l’âge. Nous ne sommes pas tous égaux face à la maladie.
Précautions pour dépose des métaux lourds en bouche
Différentes études ont montré que seulement 60% des patients réagissent favorablement à la dépose de leurs amalgames avec des symptômes qui diminuent ou disparaissent, 25% n’étant pas améliorés et 15% étant aggravés. Les 40% d’échec sont dus au fait qu’aucune précaution particulière en ce qui concerne l’ordre de dépose ainsi que le nombre d’amalgames déposés en une séance, n’avait été prise et qu’aucune mesure d’accompagnement avant et après la dépose des amalgames n’avait été prévue. Quand on sait que le Mercure a une demi-vie de 2 à 10 ans suivant la molécule organique (il lui faudra donc 4 à 20 ans pour être éliminé ou que la dose présente ne soit plus toxique, bien que les seuils de toxicité ne soient pas connus!) et qu’actuellement on peut sous contrôle médical utiliser des « chélateurs » qui vont chercher ces métaux dans les tissus; tout en sachant que ces produits sont délicats à manipuler et que leur utilisation peut présenter des dangers. A ce jour, il n’existe pas de chélateurs pour le Mercure qui se trouve dans le cerveau, la barrière hémato-encéphalique étant très sélective.
Un grand nombre de travaux scientifiques a montré la relation statistiquement significative entre certains symptômes, le nombre d’amalgames dans la bouche, et la présence de Mercure dans la salive, dans le sang ou encore dans l’urine. Les premiers symptômes à apparaître seront en principe liés à ces trois systèmes. Aujourd’hui, on sait que les effets principaux d’une exposition de l’homme au mercure sont à l’origine de maladies immunologiques, cardiovasculaires, rénales (rein) et neurologiques. Une exposition chronique au mercure peut entraîner des dommages au cerveau, à la moelle épinière, aux reins, au foie et un problème de développement du fœtus.
En conclusion, il faut prendre des précautions particulières avant, pendant et après la dépose des amalgames.
DIAGNOSTIC DE LA SENSIBILITÉ AUX MÉTAUX
La sensibilité aux amalgames et aux métaux n’est pas évidente à mettre en évidence pour deux raisons
- la présence des métaux n’est pas pondérale, donc ne peut pas être mise en évidence par une analyse sanguine conventionnelle sauf en cas d’intoxication avérée.
- les métaux présents en bouche avec les amalgames et les métaux des couronnes et obturations se mettent en solution selon les règles de l’électrochimie dans des quantités très faibles mais continues. Ils sensibilisent le système immunitaire selon les voies d’allergie de type IV qui sont tout à fait spécifiques. Ils réagissent également avec le système énergétique du patient et peuvent être mis en évidence par la biorésonance.
Il est donc nécessaire de connaître le fonctionnement du patient, de connaître les carences ou excès dans les nutriments et micronutriments car de cette vision du terrain découlera l’appréhension de sa sensibilité aux agents toxiques. Un terrain carencé ou acidifié amènera forcément le patient à être plus sensibles aux agressions, ce qui créera le lit des maladies dégénératives et inflammatoires.
Pour connaître la sensibilité du patient, voire l’intoxication ou l’allergie aux métaux d’origine dentaire ou non.
- Le test sanguin PRS OU PNS (profil de réactivité sérique) est une analyse du sérum que l’on fait réagir avec 33 réactifs différents qui vont faire plus ou moins floculer le sérum. Les résultats permettent de comprendre comment le patient fonctionne ou dysfonctionne, et quels sont les mécanismes de compensation mis en place pour survivre. C’est une manière dynamique d’observer son patient.
- Le test sanguin Mélisa® est un test d’évaluation de la sensibilité individuelle d’un patient à différents métaux avec lesquels il pourrait être en contact. C’est un test dit “test d’allergie aux métaux ”. Il est fait par culture cellulaire des lymphocytes qui sont mis ensuite en contact avec les métaux.
- Le test électrogalvanique buccal : la mesure électrique montre une importante activité électrique qui peut avoir selon la sensibilité du patient, un effet direct par une perturbation électromagnétique. Il faut d’abord procéder à une mesure électro galvanique complète avec l’appareil VAD-2 (SCEM) des amalgames du patient, ce qui permettra de connaître les amalgames les plus électronégatifs, donc les plus nocifs, car ce sont eux qui auront la plus grande corrosion et de ce fait libéreront le plus d’ions métalliques que le patient avalera. C’est grâce à cette mesure électrique que l’on pourra choisir l’ordre de dépose en commençant par la pile la plus importante
L’ELECTROCHIMIE 1ère loi : mise en solution des métaux : tout alliage composé de plusieurs métaux et plongé dans une solution saline mettra en solution d’abord les métaux les plus électropositifs selon leur potentiel RedOx respectif. Les métaux sont ainsi oxydés et libèrent un ou plusieurs électrons ; ils se trouvent sous forme ionisée dans la salive puis avalés. 2ème loi : apparition d’un courant électrique dans une solution saline en présence de métaux : La libération de(s) l’électron(s) lors de l’oxydation va permettre un flux d’électrons qui va pouvoir être enregistré sur un voltmètre.
- Le test de biorésonance consiste à mettre en relation des informations pondérales ou homéopathiques, ou toute autre information, avec le système énergétique du patient de manière à observer des changements de la conductance électrique de la peau, ceci mesuré en principe sur un point d’acupuncture grâce à un Ohmmètre. C’est une technique vibratoire d’interaction énergétique entre le patient et le thérapeute qui permet de connaître où les perturbations sont les plus graves, et si les remèdes ou matériaux choisis sont compatibles. La firme VEGA, en Allemagne, a développé depuis de nombreuses années des appareils pour mesurer et mettre en évidence l’énergie circulante du corps humain. L’idée a été reprise des travaux sur l’électro-acupuncture de R. VOLL, travaux qui avaient abouti à la conception de la MORATHERAPIE. L’utilisation de la Morathérapie est longue et compliquée puisque les mesures se font sur près de 40 points d’extrémités (points Ting). L’interprétation des résultats nécessitent une grande expérience. Le Dr Schimmel a donc développé le concept VEGA qui permet d’aborder l’énergétique du patient de manière beaucoup plus rapide. La biorésonance (Mora et Vera thérapies) permet maintenant de faire le diagnostic d’une intolérance, parfois asymptomatique, qui deviendra peut-être une intoxication symptomatique plus tard. Les tests peuvent aussi s’effectuer en kinésiologie ou au pouls chinois.
- Le pH urinaire: (équilibre acide-base) Tous les déchets issus du métabolisme créent des acides qui devront être détoxifiés par le foie et éliminés par les reins. C’est pour cela que l’urine, qui est le résultat de cette élimination nocturne, est acide le matin. Si la quantité d’acides est trop importante, ou si le travail d’élimination est insuffisant, l’urine reste acide. L’urine représente donc l’état « d’encombrement » de note corps par des toxines acides.
6.L’analyse sanguine des acides gras permet de connaître la performance du métabolisme en évaluant l’état des structures membranaires, de savoir si l’apport des acides gras essentiels est suffisant et d’évaluer la performance du système enzymatique des graisses.
- L’analyse sanguine du système radicalaire et antiradicalaire permet d’évaluer l’état des structures et la normalité des systèmes radicalaires et antiradicalaire.
Ces tests permettent en outre de savoir si le patient est prêt pour la dépose car ils représentent un véritable bilan de santé. En effet, il est très important de préparer l’organisme au stress d’une dépose d’amalgames car en cas de carences vitaminique, d’oligo-éléments, de minéraux, et d’acides gras, le patient risque de subir une » aggravation thérapeutique » qui peut être sévère.
Traitement global de base
« assainir le terrain » et ainsi préparer le patient à la dépose des amalgames dentaires, d’entreprendre le traitement de fond de sa parodontopathie, de ses caries, ou tout autre traitement médical.
- HYDRATATION : amélioration de la qualité de l’eau (le corps est constitué d’environ 60% d’eau) L’eau sert à véhiculer les substances grâce aux protéines
Quinton Hypertonique®: favorise l ’apport des minéraux et des oligo-éléments (concentré 3x plus que le sang) il tructure et mobilise l ’énergie.
Quinton Isotonique®: stimule les organes éliminateurs élimine l’excès pondéral comble l’insuffisance énergétique est généralement calmant.
ou OLIGOELEMENTS® Eau de mer filtrée à 0,2 microns
- LUBRIFICATION : amélioration de la qualité des membranes cellulaires et organiques de manière à potentialiser tous les échanges, ceci avec les acides gras. la graisse permet d’améliorer la qualité des membranes des cellules et donc des « portes » qui s’ouvrent et se ferment pour laisser entrer les substances nutritives et sortir les déchets.
Oméga3: huile de foie de Requin® et chélation des métaux lourds.
Oméga6: huile d’ONAGRE® en alternance avec
huile de BOURRACHE® (acides Gras poli insaturés)
Oméga9: huile d’olive et/ou de Colza en première pression à froid. (acides Gras mono insaturés) dans les préparations culinaires (un filet d’huile sur la salade trouvée en grande surface (rayon diététique) ou en magasins spécialisés)
- COMPLEMENT anti-oxydant:
THCURCUMAN®
ANTIOXYDANTS majeurs®
Ou VITAMINES et Antioxydants® selon les résultats de lu PNS
- ACTIVATION de la flore intestinale: FLORE PROBIOTIQUE® la flore intestinale: il faut donc un apport d’anti-radicaux libres et de bactéries « amies » afin de renforcer l’immunité. Dr Laurent AUFRERE Page 8
- Homéopathie et Phytothérapie : Au moment de la dépose des métaux lourds il va y avoir information par voie homéopathique en dilution Korsakovienne et capture des métaux par phytothérapie et ce sur une durée définie.
- La détoxication: avec un support homéopathique, les plantes sont choisies en fonction des métaux toxiques emmagasinés et selon les organes qui les ont recueillis
- La chlorella: (chlorella pyrenoïdosa®) sous la forme de comprimés ou de poudre. Il s’agit d’une algue microscopique vivant en eau douce et très riche en vitamines A, bêtacarotène, B1, B2, B3, B5, B6, B8, B9, B10, B12, et C, oligo-éléments (calcium, phosphore, magnésium, iode, fer, cuivre, zinc) et acides gras et autres substances nutritives.
- ou Xenosulf® ou Chitosan®
- L’ail des ours: sous la forme de comprimés ou teinture-mère
- La coriandre: également sous la forme de teinture-mère.
- Mécanique :
Utiliser des systèmes de protections lors du fraisage de l’amalgame, entre autres canule Clean-Up®, aspiration puissante, masques de protections au charbon actif. (la pose de la digue est controversé car le mercure traverse la membrane ).
Lors de la dépose à proprement parlé, rincer plusieurs fois abondamment la bouche du patient, et à la fin de la dépose, lui faire avaler une ampoule de Quinton® hypertonique.
Mais laissez faire votre dentiste ( allez demander la liste des dentistes qui sont habilités à la chélation ou dépose d’amalgames à l’association ARTEC
références
//www.intolsante.com/ Tests IMU PRO – MELISA
//www.amdhq.qc.ca/ Site de l’association médico-dentaire holistique du Canada, bien au fait du problème mercuriel.
//www.melisa.org/hottopics/index site consacré aux métaux lourds. Le test Melisa est le seul test sanguin reconnu scientifiquement qui permette de mesurer une hypersensibilité aux métaux.
//www.sevaonline.com/ site français complet
//www.sevaonline.com/Conf-ama.pdf conférence donnée à l’école polytechnique de Zürich le 14 mai 1998
//www.non-au-mercure-dentaire.org/ site français
//www.amalgam-info.ch/ site suisse très complet, avec une large bibliographie (en allemand exclusivement) et de nombreux liens
//www.hyperactif.org/ métaux lourds transmis au foetus et qui entraîneraient hyperactivité, autisme, etc. Site français avec antenne suisse.
– L’amalgame dentaire, un risque pour l’humanité / éliminer correctement les intoxications au mercure. Dr Joachim Mutter, introduction du Dr Dietrich Klinghardt, Editions Alternatif. CP 1214 – CH 1800 Vevey. 169 pages, ISBN 2-9700370-0-9, 2002.
Enfin traduit de l’allemand ; 3ème édition retravaillée et élargie d’un livre à succès. Traite de l’élimination des métaux lourds, avec des conseils actuels et des cas d’étude pratiques. Rigueur et clarté. Si il ne fallait se procurer qu’un livre sur le sujet, ce serait celui-ci.
– Amalgames dentaires, un problème de santé publique
Marco Pietteur éditeur, collection Résurgence, 322 pages, ISBN 2-87211-044-5, 2002. Ce volume contient le rapport de l’Université de Kiel (Allemagne) sur la toxicité des amalgames à la demande du procureur de la cour de Francfort, suite à la plainte de 1500 patients allemands (Institut für Experimentelle Toxikologie des Universitätsklinikums) et l’étude de Tübingen (Allemagne) : programme de recherche concernant le taux de mercure salivaire chez 20 000 personnes et liaison avec les problèmes de santé grâce à un auto-questionnaire. En dépit d’un titre quelque peu rébarbatif, le livre est d’une lecture agréable et à la portée d’un non-spécialiste.
– Le mercure des amalgames dentaires : quels risques pour la santé et l’environnement. Quels enjeux financiers ? Prof. Marie Grosman et Dr J.J. Melet, préface du Prof. A. Picot, toxicochimiste, directeur de l’Unité de Prévention du Risque Chimique du CNRS (190 pages, 178 réf, 11.2000) à commander directement sur le site // nonaumercuredentaire.free.fr/ – Intoxiquée au mercure, j’ai intoxiqué mes trois enfants Francine Lehner-Gallay, Éditions à la Carte, 211 pages, ISBN2-88464-273-0, avril 2001.Témoignage de proximité et excellente compilation des produits cosmétiques et de la pharmacopée contenant des métaux lourds. Appendice: les métaux lourds et leurs effets sur la santé, conférence du Dr Dietrich Klinghardt à l’École Polytechnique Fédérale de Zürich le 14 mai 1998.
Médecins dentistes holistiques
0 commentaires